Bonjour et Bienvenu(e) sur Vertiges Studio !

Vous voici sur la page qui doit vous faire découvrir qui je suis, l’humain derrière l’appareil photo !

On ne confie pas ses photos à n’importe qui. Quand on choisi un ou une photographe pour documenter son mariage, sa famille, son entreprise, on regarde d’abord les images qu’il produit, mais ce qui est important par dessus tout c’est la confiance que l’on va accorder à la personne. Pour ça, il faut la connaître.

Alors ça risque d’être un peu long, du coup je vous ai fait un sommaire :

Présentation

Je m’appelle Vincent. J’approche de la quarantaine et j’ai perdu quelques cheveux, mais ma barbe me donne un petit coup de pouce en charisme.

J’adore la nature, les grands espaces, l’océan, les montagnes, les sensations fortes, ainsi que des moments de solitude. J’aime aussi passer des soirées avec mes amis et partager des instants d’intimité avec ma femme et ma fille qui grandit décidément trop vite. Depuis des années, je trimballe toujours un appareil photo avec moi. Je suis celui qui râle parce que Madame a emporté un sèche-cheveux en vacances tout en traînant avec un énorme sac à dos rempli d’objectifs lourds et encombrants. Je suis celui qui en balade est toujours parti sur un chemin de traverse ou qui est à la traine car il est en train de faire sa photo.

J’ai été kinésithérapeute pendant 15 ans. Je pense que j’étais plutôt bon dans ce métier ; il a été pour moi un vrai cheminement personnel, idéologique et philosophique (rien que ça !). Je l’ai vécu intensément, passionnément. J’ai exercé en libéral, à l’hôpital, j’ai été enseignant auprès des jeunes mais aussi des anciens diplômés. Même si désormais je suis passé à autre chose, j’ai conservé l’écoute, la bienveillance, l’amour des rapports humains, mais aussi la rigueur, l’analyse des besoins, la capacité d’établir un plan d’action.

Notre petite famille a passé quelques années dans les Alpes, avant de revenir en Bretagne. J’ai profité de ce changement de vie pour me lancer dans la photographie et faire de cette passion mon métier. Ca me permet aussi de justifier auprès de mon épouse l’achat de ce nouvel objectif qui coûte une fortune !

C’est ma passion. Et je vous propose de la mettre à votre service pour figer dans le temps les moments importants de votre histoire. Je suis là pour vos photos, mais aussi pour vous accompagner dans cet instant, le rendre le plus mémorable qui soit. Dans les Côtes d’Armor, en Bretagne, ou peut-être plus loin si vous le désirez, n’hésitez pas à me faire part de vos envies et de vos projets et voyons ce que nous pouvons faire ensemble.

Quand j’avoue à Madame le prix du dernier objectif que j’ai acheté.

Ma photographie

J’ai commencé la photographie à l’époque de l’argentique (oui vous savez le truc de hipster devenu hors de prix). Il y avait un je ne sais quoi d’euphorisant à faire des photos, mais très frustrant parce qu’on n’avait que 24 poses, et un temps interminable pour en voir le résultat. Je me promets d’ailleurs d’y revenir dans quelques années (en même temps que les modèles réduits et les Warhammer).

Heureusement le numérique est passé par là. J’ai acheté mon premier réflex numérique en 2008 et depuis j’ai probablement dépassé le million de déclenchements. Les paysages, les copains qui faisaient de la moto, le chat puis les chats, la famille, notre fille, puis les animaux sauvages parce que ça gigote moins !

J’ai fait subir à mes appareils des conditions difficiles, entre l’eau salée ou non, la glace, le froid (ce plaisir de sortir les doigts des gants par -20°C pour faire une photo), la boue, l’altitude, les profondeurs de la terre, … . Un de mes appareils est mort dans un kayak de mer, dans ce compartiment dans lequel on m’avait promis qu’il serait à l’abris. Vous l’aurez compris, j’aime aussi la photo quand elle est difficile à obtenir, bien qu’il m’arrive de tricher en envoyant mon drone.

J’aime aussi l’objet photo. Les grands tirages, les livres. Nous avons aujourd’hui tous des milliers de photos sur nos smartphones et sur lesquelles nous nous arrêtons à peine. Mais celles qui sont sur le papier nous les regardons, les touchons, les ressentons. Mon pêché mignon c’est d’imprimer mes photos à la maison, de les voir sortir de l’imprimante. Mon rêve ? Avoir un véritable labo photo à moi, perso !

Ces trucs que j’aime

L’ALPINISME

Je déteste faire la queue et me geler aux remontées mécaniques, j’aime les grands espaces vierges, le bruit des mousquetons sur le baudrier, le chant du piolet qui fend la glace.
Discipline assez compliquée à pratiquer dans les Côtes d’Armor, heureusement ma chère épouse m’autorise à m’absenter régulièrement pour m’adonner à cette passion dévorante.

La cuisine

J’ai plein de livres de cuisine, et j’adore les feuilleter, parce qu’ils me donnent des idées, et que leurs photos m’inspirent. Je suis aussi le cuisinier de la maison, celui qui se lance dans des recettes qui vont générer une énorme quantité de vaisselle. J’aime le mélange de créativité et de rigueur qu’exige la cuisine. Un peu comme la photo quoi !
Ma spécialité ? Le burger maison.
J’aime bien manger aussi.

La science fiction

Car c’est une des meilleurs outils pour questionner nos sociétés et nos modes de vie, sous couvert de nous montrer des vaisseaux dans l’espace et des rayons lasers.
J’aime les films, les séries, les BDs, les livres, les jeux vidéos.
D’ailleurs si vous n’aimez pas la SF, je vous recommande le visionnage de l’excellente vidéo de Nexus VI :

La vie rêvée de Walter Mitty

Parce que ce film parle de photo, qu’il y a Ben Stiller dedans, l’Islande et l’Himalaya avant les réseaux sociaux, parce qu’il m’a fait ressentir plein d’émotions quand je l’ai vu pour la première fois.

Les jeux vidéo

Je suis un geek. J’ai grandi avec les jeux vidéo et je continue de m’y adonner malgré l’âge. Seul face à mon avatar, ou avec des amis, c’est toujours un bon moyen de s’évader et de s’offrir des moments de franche rigolade.

Notre fille

Véritable petit tourbillon sur pattes, pleine de joie, intelligente, belle, drôle. Tout comme ses parents !

Rester sérieux

Non, je plaisante !

Les GIF

Mais bon ça, vous l’aviez déjà remarqué.

Engagement éthique

Consentement et respect de la personne

Ces dernières années nous avons connu une évolution plus que bienvenue des mentalités en ce qui concerne le rapport à la personne et au corps, et tout particulièrement celui des femmes, bien qu’il reste encore un long chemin à parcourir. Quand j’étais kinésithérapeute, j’ai eu de plus en plus à cœur d’en faire la règle d’or de mon exercice : l’explication systématique du geste ou de l’exercice, l’acceptation du refus, le libre consentement.

Il va de soit que cette habitude m’a suivie dans la photographie.

Bienveillance, respect, consentement sont mes règles d’or.

Retouche

Les outils de traitement d’image n’ont jamais été aussi puissants. Quelques clics de souris permettent d’enlever tout ce que l’industrie de la mode et le male gaze nous ont fait considérer comme des défauts.

Je retouche les corps et les visages uniquement sur les points nécessaires. Car on ne décide pas d’avoir un bouton de fièvre le jour de son mariage, ou de s’être coupé le matin en se rasant.

Le rapport au corps

La photographie permet de sublimer les corps et les personnes, même dans le cadre de la photo de nu ou de boudoir. Elle doit rester élégante, et quand il est question de montrer un corps nu, suggérer plus que montrer. Il faut que vous puissiez tirer de la fierté de cette photo de vous dévêtu.e, même quand vous la regarderez dans 30 ans.

Les réseaux sociaux de photographes regorgent groupes sur lesquels on retrouve des photos de femmes, le plus souvent jeunes, souvent dénudées. Parfois on a des difficultés à situer la frontière entre l’art et le voyeurisme de celui qui se cache derrière l’objectif ou son écran.

Dans ce contexte, chez Vertiges Studio, que vous m’autorisiez ou non l’usage de vos photos à but de publication, vous savez dans tous les cas ce qu’il en est fait. Aucune publication sur des sites obscurs ou derrière des paywalls.

Engagement de responsabilité environnementale et sociale.

Nous avons tous notre part de responsabilité dans le monde qui nous entoure. Comme toute entreprise, un photographe a un impact sur son environnement par les choix qu’il fait, ses outils, ses prestations.
S’il est impossible de changer le monde tout seul. Mais on peut s’employer à vivre en accord avec les valeurs qui nous paraissent importantes, sans céder au greenwashing (= éco blanchiment) ou à l’angélisme.

Transports

  • Dans la vie de tous les jours, comme professionnellement, limiter l’usage de la voiture à ce qui est indispensable, prendre les transports en commun.
  • Réduire les voyages en avion au strict minimum, les réserver pour ce qui compte vraiment.

Prendre le temps, utiliser ses jambes. C’est un beau défi en Côtes d’Armor que de n’avoir qu’une voiture par famille, mais nous y parvenons.

Les voyages sont parmi les meilleures expériences qui soient. Cependant la réalité climatique s’impose à nous. Alors il faut nous adapter. Plus question d’aller passer un weekend dans une grande capitale européenne en profitant d’un billet d’avion bradé. Nous avons choisi reprendre le temps de voyager. Pour ça, le train est un outil formidable. Et l’autre bout du monde ? On ira, mais Différemment.

Il ne s’agit pas de renoncer à visiter le monde. Il s’agit de le faire autrement, moins souvent certes, mais mieux, plus longtemps, loin des spots Instagram qu’on a déjà vu 1 million de fois (cherchez Iceland sur Instagram juste pour voir), plus près des gens.

Vous voulez faire votre séance elopment sur les plages de la Martinique ? Nous pourrons rechercher ensemble un ou une collègue sur place pour vous offrir ce moment, mais je ne serai pas celui qui vous y accompagnera (en plus ça fait travailler les confrères et les consœurs sur place qui sont aussi bourré.e.s de talent !).

Matériel

  • Renouveler le matériel seulement quand c’est nécessaire.
  • Recourir au marché de l’occasion.

La plus grande partie de l’impact environnemental du matériel informatique et photographique (et de la majorité des biens de consommation) est causé au moment de sa production. Les marques nous encouragent à renouveler souvent le matériel à grands coups de nouveaux modèles presque tous les ans alors que les progrès qu’ils apportent sont des sauts de puce. En photo par exemple, il n’existe plus vraiment de mauvais capteurs, ni de mauvais appareils photo, ni de mauvais objectifs.

Cet engagement vous profite aussi : un matériel d’occasion est moins cher à renouveler, cela se répercute sur le prix de mes prestations.

Les seuls produits que je me procure neufs sont les dispositifs de stockage et les batteries de mes appareils, car c’est aujourd’hui le seul point de faiblesse matérielle dans mon activité professionnelle. Si mon appareil tombe en panne pendant la prestation j’en ai toujours un de secours. Par contre je ne peux pas me permettre la moindre défaillance de carte mémoire ou de disque dur.

Social

  • Refus du travail non déclaré
  • Une prestation = un contrat
  • Recours à des prestataires locaux ou européens éthiques
  • Permettre au plus grand nombre d’avoir accès à la photographie.

Refus du travail non déclaré

Les enjeux sociaux existent aussi dans le domaine de la photographie. En tant qu’entrepreneur je suis responsable de mon activité professionnelle. C’est pour quoi je refuse le travail non déclaré. En tant qu’ancien professionnel de santé ET syndicaliste, il est d’autant plus important pour moi que chacun contribue au pot commun des cotisations sociales et des recettes fiscales dont nous bénéficions toutes et tous.

Une prestation = un contrat

Toute prestation s’accompagne systématiquement d’un contrat établi entre vous et moi, que vous soyez modèle, entreprise, particulier. Il n’est malheureusement pas impossible qu’un jour une prestation ne se déroule pas comme l’un de nous l’aurait souhaité. Dans ce cas, le contrat est là pour nous protéger et permettre de régler ce contentieux le plus efficacement possible.

Recours à des prestataires locaux ou européens éthiques

Le photographe vend ses photographies, il vend également des produits, au travers d’impressions, d’albums et d’autres souvenirs. Beaucoup de services d’impression de photos, livre, etc., impriment à l’étranger pour casser les prix. D’autres font venir le papier de l’autre bout du monde, ou bien ce papier est issu de cultures polluantes ou non gérées durablement. Rappelez-vous que bien trop souvent derrière des prix bas se cachent des conditions sociales dégradées pour le personnel, et des procédés industriels non respectueux de l’environnement.

J’attache énormément d’attention à la résistance dans le temps des produits que je vends, pour que vos photos et vos albums vous suivent toute votre vie, voir même vous survive ! Dans la mesure du possible, j’ai recours à des prestataires bretons, français ou européens.

Permettre au plus grand nombre d’avoir accès à la photographie

Je suis conscient que la photographie est un art qui peut sembler coûteux, mais je souhaite vraiment le rendre accessible au plus grand nombre. C’est pourquoi je peux vous proposer des facilités de paiement allant jusqu’à 5 fois sans frais supplémentaires, afin de vous permettre de profiter pleinement de cette expérience unique.
N’hésitez pas à aborder ce sujet en toute confiance, sans craindre d’être jugé.

Le mot de la fin

Bravo, vous êtes arrivé au bout de cette page !

Elle me définit en tant qu’être humain et photographe. Merci d’avoir lu tout ça, c’est important pour moi. J’espère que ça vous a donné envie de me confier votre projet, ou du moins de me le présenter.

Si c’est le cas, n’hésitez pas à remplir le formulaire de contact en cliquant sur le lien suivant !

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